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LA TRAVIATA

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« Celui dont les yeux restent secs n’a pas de coeur humain dans la poitrine », a écrit un critique après une représentation du plus célèbre des opéras de Verdi.

DON QUICHOTTE

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Moins représenté que Manon ou Werther, Don Quichotte a été écrit par Massenet pour la grande basse russe Chaliapine qui aurait versé des larmes à la lecture de la partition.

LE NOZZE DI FIGARO

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Si Don Giovanni est le plus profond des opéras de Mozart, Così fan tutte le plus intime et La Flûte enchantée le plus magique, Le Nozze di Figaro est incontestablement le plus parfait.

CAMÉLÉONS : CLARINETTE, ALTO, PIANO

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Une plongée au coeur de la dualité schumanienne, éclairée par deux instruments « caméléons » de l’orchestre, l’alto et la clarinette, à travers le romantisme passionné de Brahms, Bruch et Schumann, et la modernité transparente de Kurtàg. 



MAX BRUCH

Extraits des Huit pièces, op. 83



JOHANNES BRAHMS

Sonate n° 1, op. 120 (2ème mouvement)

Sonate n° 2, op. 120 (1er mouvement)

CONCERT DE L'ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE MARSEILLE - CONCERTS DU NOUVEL AN

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Le traditionnel concert du Nouvel An débute par un hymne à la légèreté parisienne incarnée par Offenbach. Après un rappel des malheurs du monde exprimés par Verdi (Va pensiero), on rit en Italie avec Rossini, on danse à Prague avec Dvořák ou parmi les cygnes russes avec Tchaïkovski. On tombe amoureux d’une gitane andalouse. Et voilà que nous valsons avec ivresse sous les lustres de Vienne avant de marcher vers l’année nouvelle.




JACQUES OFFENBACH

La Gaîté parisienne, Ouverture

CONCERT DE L'ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE MARSEILLE

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« Elle pleure », disait Brahms à propos de son Ouverture tragique. Toute la noblesse du monde dans ces larmes. Le vigoureux Concerto pour violon de Bruch répond à celui de Brahms avec le même lyrisme. Toute la virtuosité de Joachim dans l’archet du jeune Lozakovich. Écrite pour célébrer la Révolution française, la Symphonie n° 4 de Penderecki fait résonner l’âme polonaise. Tous les espoirs de l’humanité en trente minutes.