LA TRAVIATA
« Celui dont les yeux restent secs n’a pas de coeur humain dans la poitrine », a écrit un critique après une représentation du plus célèbre des opéras de Verdi.
« Celui dont les yeux restent secs n’a pas de coeur humain dans la poitrine », a écrit un critique après une représentation du plus célèbre des opéras de Verdi.
Moins représenté que Manon ou Werther, Don Quichotte a été écrit par Massenet pour la grande basse russe Chaliapine qui aurait versé des larmes à la lecture de la partition.
Si Don Giovanni est le plus profond des opéras de Mozart, Così fan tutte le plus intime et La Flûte enchantée le plus magique, Le Nozze di Figaro est incontestablement le plus parfait.
Après l’échec de Simon Boccanegra, Verdi a tenté de se plonger dans Le Roi Lear (en vain) quand il s’est enthousiasmé pour un livret inspiré de la mort de Gustave III de Suède.
HEITOR VILLA-LOBOS
Quatuor à cordes n° 13
ASTOR PIAZZOLLA
Jeanne y Paul
Ave maria
Libertango
Oblivion
Los Pájaros perdidos
Violons Matthieu LATIL et Dali FENG
Alto Brice DUVAL
Violoncelle Etienne BEAUNY
ALEXANDER BORODINE
Quatuor à cordes n° 2
PIOTR ILITCH TCHAÏKOVSKI
Quatuor à cordes n° 2
Violons Da-Min KIM et Marcello MIRAMONTI
Alto Magali DEMESSE
Violoncelle Anne-Claire CHOASSON
Une plongée au coeur de la dualité schumanienne, éclairée par deux instruments « caméléons » de l’orchestre, l’alto et la clarinette, à travers le romantisme passionné de Brahms, Bruch et Schumann, et la modernité transparente de Kurtàg.
MAX BRUCH
Extraits des Huit pièces, op. 83
JOHANNES BRAHMS
Sonate n° 1, op. 120 (2ème mouvement)
Sonate n° 2, op. 120 (1er mouvement)
GARETH FARR
Kembang Suling
ISAAC ALBÉNIZ
Asturias (arrangement de Adélaïde Ferrière) - Marimba solo
VINCENZO SORRENTINO
Just a week
NATHAN DAUGHTREY
Azul
YANN MARESZ
Circumambulation - Flûte solo
Le traditionnel concert du Nouvel An débute par un hymne à la légèreté parisienne incarnée par Offenbach. Après un rappel des malheurs du monde exprimés par Verdi (Va pensiero), on rit en Italie avec Rossini, on danse à Prague avec Dvořák ou parmi les cygnes russes avec Tchaïkovski. On tombe amoureux d’une gitane andalouse. Et voilà que nous valsons avec ivresse sous les lustres de Vienne avant de marcher vers l’année nouvelle.
JACQUES OFFENBACH
La Gaîté parisienne, Ouverture
« Elle pleure », disait Brahms à propos de son Ouverture tragique. Toute la noblesse du monde dans ces larmes. Le vigoureux Concerto pour violon de Bruch répond à celui de Brahms avec le même lyrisme. Toute la virtuosité de Joachim dans l’archet du jeune Lozakovich. Écrite pour célébrer la Révolution française, la Symphonie n° 4 de Penderecki fait résonner l’âme polonaise. Tous les espoirs de l’humanité en trente minutes.